Paaaaaapaaaaaaa! criai je en courant dans les bras de mon père, à cette époque là, je m'entendais encore avec, lui. Il me serra fort dans ses bras en m'embrassant sur le front. Ma mère arriva après un sac rose bonbon en main. Bonjour Adélaïde. fit il en souriant, je pris une moue boudeuse, ma mère sourit à son tour. Maiiis, papa ! M'appelle pas Adélaïde ! C'est Gaia. Ma mère passa sa main dans mes cheveux. Il faudrait l'emmener à la danse à dix huit heures. Et tu la ramènes à vingt et une heure à l'appartement. Mon père finit par acquiescer. Je fis un bisous sur la joue de ma mère puis finit par aller jouer. Mon père me rejoignit plus tard, il avait l'air heureux. Il avait une deuxième fille une petite brune, mais jamais elle n'avait le droit de m'approcher, moi je m'en fous j'ai mon papa à moi toute seule. On joua toute la journée ensemble, puis vint le moment de m'amener à la danse, en fait j'étais une artiste dans l'âme vous savez celle qui excelle dans la danse et le chant, enfin le chant c'est pas le truc qui est le plus inné pour moi. D'après ma mère je devrais arrêter le chant c'est une torture mais pour moi, c'est cool de chant. J'avais mis mes pointes, une fois la musique lancé je me mis a danser, ou plutôt à voler dans la salle, mon professeur était souvent très content de mes prouesse, il me félicitait toujours et me répétait sans cesse avec son accent russe. Que je ferais une graaaande carrière dans la danse classique que j'avais mes chances pour rentrer dans une école de danse classique, mais c'était très dur et je me forçais toujours pour en faire plus. J'ai toujours eus l'espoir de pouvoir devenir une de ces étoile et d'entrer dans le ballet de floride, peut être un jour aller à New York, mon rêve le plus précieux. Après avoir danser pendant deux heures, il était déjà l'heure de partir, je finis pas aller m'asseoir à côté de mon père un peu à contre coeur. Il m'aida à enlever mes pointes, les accrochant ensemble, il me sourit avant de me les mettre autour du coup. Tu as été fantastique, ma petite princesse. Je le regardais avec un regard noir, d'après moi j'étais nulle. Dis pas ça, j'ai pas réussis ma cabriole! C'est nul j'y suis pas arrivée aujourd'hui ! On va manger maintenant, faut que tu me ramène bientôt à la maison. Dans ce monde là il faut toujours être la meilleure, et aujourd'hui c'était l'autre idiote là, et ça m'énervait ! Allez vient on va manger au restaurant. Il me pris par les épaules en souriant.

Assise à côté d'elle cela faisait des jours que je n'avais pas dormis, mes membres étaient engourdis à force de rester dans la même position. Je m'étais réveiller car j'avais des fourmis dans les doigts. Je levai la tête ma mère était toujours couché dans son lit, elle avait toujours les yeux clos et semblait plus paisible que jamais. Elle n'avais jamais au grand jamais été à l’hôpital, je veux dire que vu qu'elle m'emmenait partout, jamais on avait été à l’hôpital. J'avais une sale mine, elle m'aurait surement hurler dessus. Mais tout avait été super vite en un an, tout c'était enchaîné, elle était allée chez le médecin pour un simple contrôle de routine, et là on apprend qu'elle a un cancer du foie. Alors à ce moment là, elle commence tout ces traitements qui sont censé la soigner, j'ai souvent loupé des cours, je pense même redoubler, moi qui ait toujours eu des notes excellentes je me retrouve avec des notes a faire pâlir les gens. Mais je devais toujours l'aider dans notre petit appartement, je l'aidai pour tout. Je me suis même coupé les cheveux très court pour pouvoir la soutenir pendant ses périodes de chimio. Elle m'avait passé un sacré savon donc je les ait fait repousser à une longueur plus que raisonnable. Elle avait perdu tout ces sublimes cheveux roux. Elle portait à longueur de journée un foulard. Mais là dans cette hôpital plus de foulard plus rien. Je savais très bien que ça faisait des jours et des jours que je n'avais pas bouger, je tirai vraiment une sale tronche sans déconner. Ga.. Ga.. je me redressai. Maman je suis là maman. Je lui serrai fort la main. Tu veux boire? Tu n'a pas mal ? Tu veux que j'appelle des infirmières. Elle pointa du doigt la salle de bain, je secouais la tête. Je ne bougerais pas d'ici! Cette dernière sourit faiblement. Avant de refermé les yeux surement à bout de force, avec tout ces tuyaux, ces câbles, ces perfusions. Adélaïde, fit on en entrant dans la pièce, j'étais à deux doigts d'exploser. Mon père se tenait là, il portait un costard sombre. Il faut que tu rentres te reposer, Adélaïde. Ou au moins prendre une douche. Je n'avais pas la force de rétorquer, j'étais bien trop fatiguée pour ça. J'embrassai ma mère sur le front, avant de lui glisser un je t'aime et de sortir de la pièce. Tu me ramène ici de nouveau papa après? Il acquiesça un peu à contre coeur cela se voyait dans ses yeux, puis finit par me serrer contre lui, je n'avais pas encore pleurer. Je ne voulais pas pleurer. Une fois dans la voiture, il m'avait acheter du fast food, je mangeais un peu pas grand chose. J'avais horreur du fast food, la nourriture trop grasse me donnait un mal de crane. On était arrivé à la maison, enfin à l'appartement, j'avais pris une douche en vitesse, en moins de vingt minutes. Je voulais vite retourner à l’hôpital, pour que ma mère ne soit pas seule. Quand j'entrai dans la cuisine, mon père fixait la tasse de café qui se tenait devant lui. Il relevai la tête vers moi, ses yeux étaient rougis d'avoir pleurer. Je le regardai en secouant la tête. C'était fini et je n'avais même pas été là. Non, c'est pas possible, pas maintenant.. Je me mis à pleurer à torrent tout ce que j'avais emmagasiné depuis qu'elle était sur ce lit d’hôpital. Je m'écroulai a terre, mon père vint me soulever pour me mettre dans mon lit, je n'arrêtais pas de pleurer, je ne pouvais plus m'arrêter. il me posai dans mon lit se posant à mes cotés. Je m'agrippa à sa chemise surement neuve, continuant de pleurer. C'était fini..

[..]

Je fermais une bonne fois pour toute finit les gens compatissant à la douleur, ils ne pouvaient pas comprendre temps qu'ils ne seraient pas dans ma situation, mon père vivait limite avec moi. Mais cela commençait a devenir pesant de ne pas pouvoir voir sa femme. Et celle ci devait bien être en colère après lui car le représentant légale après ma mère c'était lui, donc elle ne pourrait pas vivre en paix. Je m'assis sur le canapé, mon père tenait en main un whisky. Il s'assit dans un des fauteuils. Qu'est ce qu'on va bien pouvoir faire de tout ça.. Mon père haussa les épaules. Je finis par sortir un paquet de cigarettes de mon decolté. Et en allumer une, je fumais depuis un bon bout de temps. Ma mère le savait, mon père le savait, et ils s'en foutaient donc moi aussi je m'en foutais. Mes cartons sont prêts. fis je après un long moment de silence. Tu ne veux pas rester plus longtemps, tu ferais mieux d'aller dormir. Il se fait tard, mon ange. Je fis un signe de tête négatif, puis me leva. Les meubles, on les garde pour le jour ou je me prend un appartement ça peut toujours servir. Mon père acquiesça une nouvelle fois, je l'embrassai sur la joue. Bonne nuit papa. Je pris la direction de ma chambre, alors que je l'entendais me dire. Bonne nuit Gaia..

TAKEEEEEEEEEEEEEE ME AWWAAAAAAAAAY ! chantonnai je en hurlant dans la voiture la musique à fond dans l'habitacle, je tenais une clope dans l'autre main. La fênetre ouverte j'étais bien et ma soeur était blanche comme un linge, je vous assure plus blanc qu'elle, y'avait pas. T'a pas intérêt à vomir dans cette voiture, c'est ma nouvelle coccinnelle tu gerbe par la fenêtre mais pas dans mon BÉBÉ ! On était saouls, j'étais bien et Kat' était complètement mal. Cette dernière baissa le son de la musique, ma petite soeur n'était pas drôle quand elle était saoule. Putaaaaaain Gaia freine! FREEEEEEINE ! m'hurla-t-elle dans les oreilles j'eus l'impression d'avoir les tympans éclater par cette hystérique. On était saoules bien saoules, on était allées se saouler la gueule chez moi et là je devais la ramener chez elle, enfin chez notre père. et vu que c'était assez loins à l'autre bout de la ville, on avait décider de prendre la voiture. Mais qu'est ce qu'une biche foutait ici ! J'avais pas eus le temps de freiner et bam j'me suis pris une biche de pleins fouet. Katniss avait crier comme une malade, j'en avais limite les tympans explosés. On sortit toutes les deux de la voiture. Putain! Gaia ! On a tuer la maman de bambi ! Le pauvre il va se retrouver tout seul ! Et les chasseurs t'a pensé au chasseur en tuant la maaman à bambi ! Je me redressa du cadavre de la biche en la fusillant du regard. Tu te fous de ma gueule là, t'est mon copilote ! Et dans copilote y'a co ! T'étais censé m'aider merde! Elle me tira la langue. Avère toi contente que j'te fasse boire à l'oeil! On resta à fixer la bestiole pendant un petit moment. Bon on fait quoi de ça ?!, me fit elle en me regardant. Pourquoi ça serait à moi de savoir. Elle me regarda avec un petit air, excuse entre toi et moi c'est toi le cerveau de la bande. Booon on va la pousser par la bas, et tu m'aides pas de chichi sinon tu rentres à pied. On avait réussit à pousser la bestiole avec beaucoup de mal si les gens nous voyait, des dingues. Katniss posa ses mains sur ses hanches avant de dire après un long blanc de cinq minutes. N'empêche on a quand même tué la maman de bambi. Je relevai la tête vers elle, elle ne s'arrêtait jamais de causer cette dingue sincèrement. ok ok j'ai compris, je me tais.. En fait ma soeur était marrante quand elle était saoule.

Quelqu'un qui sonne à la porte, à vingt deux heure quel est l'abrutis qui ose sonner à ma porte à vingt deux heures. Je pris un grand élan pour sortir de mon canapé. Je me dirigeai d'un pied traînant vers la porte, que je finis par ouvrir. Eh merde. Le jeune homme qui se tenait devant moi. SURPRIIIIIIIISE ! Et quelle surprise de choc ! je lui claquais la porte au nez, choqué de le revoir ici. Mais qu'est ce qu'il pouvait bien foutre ici. Ouvre la porte, Gaia.. me fit il en tapant contre la porte. Non, répondis je d'une voix faible. Je suis désolé Gaia. J'ouvris à nouveau la porte. T'est désolé ?! Tu te fous de ma gueule ?! Je te déteste ! Je te jure que je te déteste ! T'est partit comme un voleur et tu voudrais que je sois heureuse que tu revienne j'espère que tu rigoles. Parce que là j'suis à deux doigts de te mettre ma main dans ta figure! Il me regardait droit dans les yeux. Non mais sincèrement ! Tu crois que si tu te pointes avec ta bouche en coeur et tes bras grand ouvert que je ferais pareille?! Non mais c'est l'hôpital qui se fout de la charité ! T'est qu'un c**nard Cook ! Il croisa les bras sur sa poitrine en souriant. Ma gorge commençait à se nouer je n'avais qu'une envie de lui claquer la porte au nez., et de manger de la glace en pleurant comme une madeleine. T'a fini ton cirque ? me demanda-t-il en croisant les bras sur sa poitrine. Je le fusillai du regard. Non j'ai pas fini je te déteste! Ca fait déjà deux fois que tu me fais le coup! Tu te casse sans un mot et tu reviens comme une fleur, une fois ça va ! Deux fois ça va ! La troisième, je sais même pas pourquoi je te parle ! Il souriait, cet abrutis souriait. Pourquoi tu souris ?! Il me prit dans ses bras, en m'embrassant sur le front. Toi aussi tu m'as manqué, Williams. J'peux dormir ici pendant un certain temps? Déjà il abusait mais avec son sourire d'ange je ne pouvais lui refuser. Tu dors sur le canap', je te préviens tout de suite. Voilà je vous présente mon meilleur ami, Kayden "Cook" Owens.

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